-
09/12/2025Publié dans: Bien-être
-
09/12/2025Publié dans: Bien-être
-
20/11/2025Publié dans: Environnement
-
01/10/2024Publié dans: Bien-être
En hiver, la vitamine D devient un sujet central de santé publique en France. Ce n’est pas un effet de mode : c’est une conséquence directe de notre géographie, de notre mode de vie et de la biologie humaine. La vitamine D est fabriquée principalement par la peau sous l’effet des UVB. Or, entre octobre et mars, l’ensoleillement en France métropolitaine est trop faible pour permettre une synthèse efficace, surtout au nord de la Loire. Résultat : les apports alimentaires ne suffisent pas à compenser, et une large partie de la population présente un statut insuffisant. L’Anses souligne d’ailleurs que la majorité des Français ne consomme pas assez de vitamine D.
Comprendre ce phénomène permet d’agir simplement et sereinement, sans attendre l’apparition de signes de carence.
La vitamine D est une vitamine liposoluble, mais elle se comporte aussi comme une hormone : une fois activée par le foie puis les reins, elle aide à réguler plusieurs fonctions clés. Les allégations santé autorisées au niveau européen indiquent qu’elle contribue au fonctionnement normal du système immunitaire, au maintien d’une ossature normale et d’une fonction musculaire normale, ainsi qu’à l’absorption normale du calcium et du phosphore.
En clair, elle soutient à la fois nos défenses naturelles, notre solidité osseuse et notre tonus musculaire, trois piliers particulièrement sollicités en hiver.
La synthèse cutanée dépend de trois facteurs simples. D’abord, l’angle du soleil : en hiver, les UVB traversent moins l’atmosphère et atteignent moins la peau. Ensuite, l’exposition réelle : le froid, les vêtements couvrants et la vie en intérieur réduisent mécaniquement le temps au soleil. Enfin, l’âge et la pigmentation : avec le temps, la peau fabrique moins bien la vitamine D, et les peaux plus foncées nécessitent davantage d’UVB pour produire la même quantité.
Même avec une alimentation équilibrée, il est difficile d’atteindre les apports nécessaires, car peu d’aliments sont naturellement riches en vitamine D. Les poissons gras et certains produits laitiers en apportent, mais en quantités limitées.
La stratégie la plus réaliste en hiver repose sur une supplémentation adaptée. L’objectif n’est pas de “surdoser”, mais de maintenir un apport régulier lorsque la production cutanée est au ralenti. Les autorités françaises rappellent l’importance de ne pas s’auto-prescrire des doses très élevées sans avis médical, mais reconnaissent aussi que l’insuffisance est fréquente et que l’apport doit être sécurisé. L’Anses a d’ailleurs fixé une limite maximale de sécurité pour les compléments destinés aux adultes à 75 µg par jour (soit 3000 UI), ce qui donne un cadre clair pour supplémenter sans excès.
Dans la routine Valebio, la Vitamine D3 est le cœur de la cure hivernale. Pour les personnes qui souhaitent une approche globale, le Multivitaminé complète cet apport avec d’autres micronutriments utiles pendant la saison froide.
Un point souvent méconnu : la vitamine D a besoin de cofacteurs pour être activée. Le magnésium fait partie des plus importants. Il intervient dans les enzymes qui transforment la vitamine D en sa forme active et facilite son utilisation par l’organisme. Plusieurs travaux montrent qu’un statut correct en magnésium est associé à un meilleur statut en vitamine D. C’est pourquoi l’association Vitamine D3 + Magnésium est particulièrement cohérente en hiver, surtout chez les personnes fatiguées, stressées ou sujettes aux tensions musculaires.
En France, la baisse hivernale de vitamine D est la règle, pas l’exception. Quand le soleil ne suffit plus, une supplémentation raisonnée devient une solution simple pour soutenir l’immunité, les os et les muscles tout au long de la saison froide. La Vitamine D3 Valebio, seule ou intégrée au Multivitaminé, associée à un magnésium bien dosé, constitue une routine hivernale complète, claire et sécurisante. Pour les situations particulières (grossesse, pathologies, traitements), il reste recommandé de demander conseil à un professionnel de santé.