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09/12/2025Publié dans: Bien-être
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20/11/2025Publié dans: Environnement
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01/10/2024Publié dans: Bien-être
Chaque année, c’est le même scénario. On arrive aux fêtes pleine de bonnes intentions, puis les repas s’enchaînent, plus riches, plus tardifs, plus longs. Et si votre ventre a tendance à gonfler au moindre écart, l’angoisse commence avant même la première bouchée. La bonne nouvelle, c’est qu’on peut préparer sa digestion comme on prépare sa tenue de fête : un peu en amont, sans pression, avec une routine simple qui met le corps dans de bonnes conditions.
Avant de parler compléments, faisons un mini check-in. Répondez mentalement à ces trois questions :
Si vous avez dit oui au moins une fois, vous êtes pile dans la cible de cette routine pré-fêtes.
La digestion, de manière simple, c’est un enchaînement de trois grands jobs. D’abord, le foie et la bile aident à gérer les graisses. Ensuite, l’intestin doit bien absorber sans s’irriter. Enfin, le microbiote et les fibres orchestrent le transit et les fermentations. Quand l’un de ces maillons fatigue, on le sent vite : lourdeur, ventre tendu, gaz, constipation ou alternance bizarre.
Étape 1, quatre à cinq jours avant les repas les plus riches : soutenir le foie sans lui promettre la lune. Beaucoup de formules « détox » reposent sur des plantes, mais côté allégations officielles, la seule très claire en Europe concerne la choline, qui contribue au maintien d’une fonction hépatique normale. Avec notre Détox foie, l’idée n’est pas de « nettoyer » votre organisme, mais de l’aider à faire son travail habituel, surtout quand l’apport en graisses augmente.
Étape 2, dès maintenant si vous êtes sujette aux ballonnements : préparer le terrain du microbiote avec les Probiotiques. Important à savoir : en Europe, il n’existe pas d’allégation santé officiellement autorisée pour les probiotiques. On ne peut donc pas dire qu’ils « améliorent la digestion » au sens réglementaire. En revanche, la recherche montre que certaines souches peuvent aider certaines personnes à mieux tolérer les repas riches et à limiter les fermentations excessives. Ce n’est pas magique, c’est progressif, et ça marche surtout quand on les prend régulièrement.
Étape 3, pour l’intestin « sensible » : la Glutamine. C’est un acide aminé dont les cellules intestinales se servent beaucoup comme carburant. Scientifiquement, elle est étudiée pour le confort digestif, mais les effets revendiqués ne sont pas validés en allégation EFSA. Traduction simple : c’est un soutien intéressant dans une routine, sans promesse miracle.
Étape 4, la plus concrète quand le transit ralentit : le Psyllium blond. Imaginez une éponge végétale. Au contact de l’eau, il gonfle, augmente le volume des selles et facilite leur progression. Ça aide souvent à réduire le ventre « lourd » d’après-fêtes, à condition de boire suffisamment. Commencez quelques jours avant les gros repas, et observez votre ressenti.
Et le Morosil dans tout ça ? Pensez-le comme un allié « équilibre » quand la période rime avec excès sucrés et repas plus caloriques. Il ne remplace pas une digestion efficace, mais il s’intègre bien à une stratégie globale pour éviter de subir janvier comme un contre-coup.
Si vous voulez rendre ça ludique, faites ce petit test pendant la semaine avant Noël. Le matin, notez de 1 à 5 votre niveau de légèreté digestive. Le soir, notez pareil. Vous verrez vite ce qui change quand vous mettez la routine en place.
Le but n’est pas d’être parfaite, mais de vous sentir bien dans votre corps pendant une période qui devrait rester joyeuse.